Vendredi 13 - Chloé Varin

Série: Vendredi 13
Auteure: Chloé Varin
Illustrateur: Mathieu Potvin
Éditeur: Petit Homme
Genre: Bande dessinée 7 ans + 
Parution: 2017 & 2019

Vendredi 13 est une duologie que ma fille de neuf ans et moi avons bien aimée. Nous avons lu, ensemble, le premier tome, il y a déjà deux ans. Je me souviens qu'elle était inquiète pour le chat de l'histoire et très impatiente de lire la suite. Grâce à plusieurs éléments qui maintiennent notre intérêt à l'égard du récit, ces bandes dessinées, d'une cinquantaine de pages chacune, se lisent assez rapidement. Premièrement, l'un des deux personnages principaux est un chat tout à fait attachant grâce à sa bouille, mais aussi au mystère qui l'entoure. Sa perte de mémoire, envers son passé, amène plusieurs intrigues à résoudre.

Plusieurs autres animaux se joignent au récit: les chiens du voisinage tels que Merguez et Caprice ainsi que Joyce l'écureuil. Des discussions entre eux et Vendredi 13 apportent parfois des informations ou encore de drôles de situations. Ma fille et moi avons eu un malin plaisir à personnifier l'un et l'autre. Dans le premier tome, Lena et Vendredi 13 s'inquiètent de la sécurité du chien du voisin. Ils ont de bonnes valeurs et s'insurgent devant la possible maltraitance animale. Le second livre, dans une ambiance encore plus tendue, fournit des réponses aux questions qui nous effleurent l'esprit depuis les premières planches, et démontre que les apparences sont dans certains cas bien trompeuses et à l'opposé des scénarios que l'on peut se faire. Lena et Vendredi 13 sont deux êtres bien courageux et ils entraînent le lecteur dans leur folle aventure alors que ce dernier bascule entre la crainte et le rire.

Vendredi 13 est une série qui a du chien parce qu'il y a du suspense et que certains bouts sont très drôles. Vendredi 13, un chat qui ne se rappelle rien de son ancienne vie, se retrouve chez Lena qui l'adopte sur le champ. J'aime bien Fidel, le lézard de Marie-Lune et Ulysse. Il me fait rigoler, car il agit d'une drôle de façon. Ça me fait rire quand je pense que ce lézard se cache partout, qu'il n'est donc pas très fidèle et qu'il s'appelle Fidel.

Merci à Virgolia Communication

pour cette duologie