Série: Mégane et Filou - T1
Titre: À New York
Auteure: Nathalie Gamache
Éditeur: Les Éditions JCL
Genre: Roman 6 ans +
Parution: Avril 2019
Dès le départ, on comprend que Mégane, son chien Filou et son papa déménagent régulièrement de ville, et même d'un pays à l'autre. Dans ce premier volet, c'est à New York qu'ils se posent quelques instants. D'ailleurs, les entêtes des chapitres nous le rappellent magnifiquement bien et nous plongent dans l'ambiance grâce à la jolie illustration. Un beau lien unit cette fillette et son père: gestes attentionnés et regards complices nous le prouvent bien. Leurs voyages aux quatre coins du globe semblent avoir facilité l’enseignement linguistique de Mégane. En outre, je crois que cette faculté pourrait être plus exploitée et que l'auteure pourrait en faire profiter le lecteur en lui apprenant quelques mots ou expressions typiques de l'endroit en question.
Pendant son séjour en terre américaine, Mégane se fera garder par sa tante qui a une fille du même âge qu'elle: Florence. Cette dernière est la personne la plus colorée que Mégane n'ait jamais vue. Elle porte plusieurs teintes distinctes en même temps et fait des mélanges parfois inusités. De son chapeau à ses bas, elle est un vrai arc-en-ciel. Malgré des goûts vestimentaires diamétralement à l'opposé, Mégane apprécie ce côté plus pétillant chez sa cousine.
Avant de repartir, Mégane en profite pour visiter certains endroits dont le Zoo de Prospect Park, qui fût une tournée éclair, ainsi que l'Empire State Building duquel elle aperçoit Central Park, Times Squares et la statue de la Liberté. Il n'y a que le changement drastique d'attitude de Florence que j'ai eu de la difficulté à cerner. Au début enjouée et éclatante, elle devient bourrue et, à deux reprises, ingrate. Par chance, en plus de faire des réflexions qui nous ont parfois fait rire, Mégane semble beaucoup plus reconnaissante que sa cousine. Sans compter Filou qui passe son temps à se sauver et à créer la zizanie.
Dès le départ, on comprend que Mégane, son chien Filou et son papa déménagent régulièrement de ville, et même d'un pays à l'autre. Dans ce premier volet, c'est à New York qu'ils se posent quelques instants. D'ailleurs, les entêtes des chapitres nous le rappellent magnifiquement bien et nous plongent dans l'ambiance grâce à la jolie illustration. Un beau lien unit cette fillette et son père: gestes attentionnés et regards complices nous le prouvent bien. Leurs voyages aux quatre coins du globe semblent avoir facilité l’enseignement linguistique de Mégane. En outre, je crois que cette faculté pourrait être plus exploitée et que l'auteure pourrait en faire profiter le lecteur en lui apprenant quelques mots ou expressions typiques de l'endroit en question.
"Je suis surement en train de rêver!
Si c'est le cas, par pitié, ne me réveillez surtout pas!"
Pendant son séjour en terre américaine, Mégane se fera garder par sa tante qui a une fille du même âge qu'elle: Florence. Cette dernière est la personne la plus colorée que Mégane n'ait jamais vue. Elle porte plusieurs teintes distinctes en même temps et fait des mélanges parfois inusités. De son chapeau à ses bas, elle est un vrai arc-en-ciel. Malgré des goûts vestimentaires diamétralement à l'opposé, Mégane apprécie ce côté plus pétillant chez sa cousine.
Avant de repartir, Mégane en profite pour visiter certains endroits dont le Zoo de Prospect Park, qui fût une tournée éclair, ainsi que l'Empire State Building duquel elle aperçoit Central Park, Times Squares et la statue de la Liberté. Il n'y a que le changement drastique d'attitude de Florence que j'ai eu de la difficulté à cerner. Au début enjouée et éclatante, elle devient bourrue et, à deux reprises, ingrate. Par chance, en plus de faire des réflexions qui nous ont parfois fait rire, Mégane semble beaucoup plus reconnaissante que sa cousine. Sans compter Filou qui passe son temps à se sauver et à créer la zizanie.
pour ce voyage
Aucun commentaire:
Publier un commentaire