Collection: Les super petits
Titre: Les bisous magiques
Auteure: Angela Portella
Illustratrice: Coline Citron
Éditeur: Larousse
Distributeur: Hachette Canada
Genre: Album 3 ans +
Thèmes: Rentrée scolaire / Empathie
Parution: Novembre 2017
Voici un magnifique livre doudou pour les petits qui font leur entrée à la maternelle, mais pas que pour eux. C'est l'histoire de Maxime qui est très angoissé en pensant à sa première journée d'école. Sur le chemin, sa maman a une excellente idée pour le rassurer: elle lui donne deux bisous dans ses poches de pantalon qu'il pourra sortir lorsqu'il aura un chagrin. Mais, Maxime en fera une toute autre utilisation.
Ce petit garçon donne, au lecteur, une petite leçon d'empathie et de partage. Maxime n'a que deux bisous; il aurait très bien pu décider de les garder pour lui-même, mais, au contraire, il les partage jusqu'au dernier. Très sensible aux autres, il s'empresse de faire profiter ses bisous à ses amis qui ont de la peine. Et, même que le lendemain, Maxime demande encore plus de bisous dans l'optique d'aider encore les autres.
J'ai beaucoup aimé le fait que, dans le texte, pleurer est une réaction normale, correcte, et ce, autant chez les petits garçons que chez les fillettes, les mamans et les papas. Eh oui! les papas aussi ont le droit de pleurer. Nous avons lu récemment La drôle de colère de la même collection et mes enfants ont été heureux de retrouver les personnages, dont Kenza.
Pour les plus vieux qui ont déjà commencé l'école, l'auteure propose quelques questions, à la suite de l'histoire, pour aider le parent à amorcer une discussion avec eux sur le déroulement de leurs journées. L'auteure livre aussi un secret à l'enfant en lui faisant part de quelques craintes que l'enseignant peut, lui aussi, avoir. En tout dernier, il y a une section remplie d'idées et de pistes pour faciliter la séparation parents-enfants.
Ce petit garçon donne, au lecteur, une petite leçon d'empathie et de partage. Maxime n'a que deux bisous; il aurait très bien pu décider de les garder pour lui-même, mais, au contraire, il les partage jusqu'au dernier. Très sensible aux autres, il s'empresse de faire profiter ses bisous à ses amis qui ont de la peine. Et, même que le lendemain, Maxime demande encore plus de bisous dans l'optique d'aider encore les autres.
J'ai beaucoup aimé le fait que, dans le texte, pleurer est une réaction normale, correcte, et ce, autant chez les petits garçons que chez les fillettes, les mamans et les papas. Eh oui! les papas aussi ont le droit de pleurer. Nous avons lu récemment La drôle de colère de la même collection et mes enfants ont été heureux de retrouver les personnages, dont Kenza.
Pour les plus vieux qui ont déjà commencé l'école, l'auteure propose quelques questions, à la suite de l'histoire, pour aider le parent à amorcer une discussion avec eux sur le déroulement de leurs journées. L'auteure livre aussi un secret à l'enfant en lui faisant part de quelques craintes que l'enseignant peut, lui aussi, avoir. En tout dernier, il y a une section remplie d'idées et de pistes pour faciliter la séparation parents-enfants.
Merci à Hachette Canada
pour cette histoire pleine de tendresse
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